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Bébé et l'obésité

Il est préférable que les bonnes habitudes alimentaires se prennent dès que possible, le risque d'obésité à l'âge adulte étant étroitement lié au comportement alimentaire adopté dès l'enfance.

Définition

ObésitéLa définition du surpoids ou de l’obésité de l’enfant repose, comme chez l’adulte, sur un indice qui prend en compte le poids et la taille.
Cet indice s’appelle IMC (indice de masse corporelle) = Poids (kg) / (Taille)² (m²). Mais chez l’enfant cette définition se heurte à des difficultés. Les variations physiologiques de l’adiposité au cours de la croissance ne permettent pas de définir une valeur unique de référence. Le comité d’experts de l’OMS recommande l’utilisation des courbes d’IMC – Filles ou Garçons – en fonction de l’âge (insérées dans le nouveau carnet de santé).
Il est actuellement admis que l’obésité de l’enfant se situe à partir d’un IMC supérieur au 97ème percentile.
Pour vérifier l’indice de masse corporelle, visitez le lien suivant : Surveillez le poids de Bébé

Calculer l’Imc pour son garçon Calculer l’Imc pour sa fille ?

Prévention de l’obésité de l’enfant

Il est préférable que les bonnes habitudes alimentaires se prennent dès que possible, le risque d’obésité à l’âge adulte étant étroitement lié au comportement alimentaire adopté dès l’enfance. Le risque d’obésité ou de surpoids est d’autant plus important que l’enfant fait partie d’une famille à risque de surpoids. D’autre part, le nombre de cellules graisseuse augmente en fonction des apports lipidiques, durant l’enfance.

La fréquence de l’obésité tend à augmenter partout dans le monde, essentiellement chez l’enfant en France. (+149 % sur une étude Française entre 1980 et 1996, enfants de 10 ans +/- 1 an)

La prévalence

L’augmentation de la prévalence de l’obésité de l’enfant est en partie due aux modifications des habitudes alimentaires, favorisant les aliments sucrés et gras tels que soda sucré (coca-cola, jus de fruits), sandwich, restauration rapide, (Mac Donald par exemple). Mais aussi :

  1. A la tendance à la diminution de l’activité physique, utilisation plus fréquente des escalators, voiture…
  2. A l’augmentation constante des activités de loisirs statiques telles que télévision, jeux vidéo et ordinateur.

Chaque âge a ses besoins, différents en fonction des dépenses énergétiques. Essayer de laisser l’enfant réguler sa prise d’aliments selon son appétit, servir une portion en rapport avec son âge. La tendance est souvent de calquer les apports du ” petit dernier ” sur ceux du grand frère ou de la grande sœur.

Actions

Ne pas forcer un enfant à finir son assiette.Tous les livres de nutrition parlent de menus ” équilibrés “. L’idée actuelle est d’apporter toutes les sortes d’aliments, en préférant certains produits par rapport aux autres. Ne pas oublier que l’organisme d’un enfant est en pleine croissance, l’enfant a des besoins essentiels en protéines, en calcium, en vitamines. Essayer de favoriser l’apprentissage de nouvelles saveurs pour l’enfant. Diversifier au maximum son alimentation, en fonction de ses goûts. L’excès de produits gras ou sucrés semble néfaste. Cuisiner peu gras, préférer purée ou pomme de terre aux frites par exemple.

  • Eviter de rajouter du sucre dans les yaourts, petits suisses, fruits.
  • Essayer de ne pas privilégier les aliments à densité calorique haute (riche en lipides et en sucre).
  • Essayer de “dé-sacraliser” les aliments sucrés et gras comme les desserts, les confiseries en évitant de menacer de priver l’enfant de dessert si le plat principal n’est pas terminé.

L’apport de Protéines doit être suffisant mais pas excessif. Diversifier les apports protéiques, penser à cuisiner du poisson, donner du jambon, de la viande blanche. Certains aliments autres que la viande apportent des protéines, ceux sont les légumes secs, les produits lactés. Donner un produit lacté à chaque repas permet d’apporter la ration en calcium nécessaire à la croissance.
Boissons : Favoriser l’eau pure. Eviter les sodas, jus de fruits apportant beaucoup de sucre.

Les bonnes pratiques

Eviter de donner gâteaux, confiseries ou boissons sucrées en dehors des 4 repas principaux.
Donner un bon petit déjeuner, lait, céréales, fruits, selon les goûts de l’enfant. Attention aux goûters trop copieux. Eviter les barres chocolatées, énergétiques, renfermant beaucoup de corps gras et de sucres Si l’enfant refuse son repas ou fait un repas léger, éviter de proposer un aliment en dehors des 4 repas, en “compensation”. Lutter contre le grignotage en dehors des repas, devant la télé ou le jeu électronique. Ces apports alimentaires sont souvent peu équilibrés, apportant beaucoup de lipides et de sucres (chips, gâteaux). Le dîner ou le déjeuner de l’enfant ” grignoteur ” risque alors d’être moins complet.

Il faut favoriser l’activité physique. Inciter l’enfant à bouger, éviter de multiplier les périodes où l’enfant est statique, télévision et/ou jeux vidéo.

En savoir plus sur la prévention de l’obésité.


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